samedi 25 octobre 2014

La Vie en Noir


Bonjour à tous !


Je suis des gens et "collectifs", sur les réseaux sociaux, des blogs, en vidéo, webzines. C'est enrichissant le partage et l'échange je trouve, c'est ce qui me plait dans mon blog et dans le fait de suivre les autres. J'adore ça et comme je le dis avec des pincettes, je tends à être de façon assez globale une "blogueuse Bien-Être". C'est ce qui me plait et m'émeut énormément depuis quelques temps, réussir à faire du bien aux autres par mes articles. Je trouve ça génial.

Alors, le net ça a son lot de bon et de moins bon évidemment. Et je suis un peu chiffonnée présentement. Il y a une chose qui m'interpelle depuis pas mal de temps : la propension à partager du négatif et ne partager que ça. Une deuxième chose qui m'interpelle énormément : la capacité des gens à te tacler lorsque tu partages du positif.


Nous peignons trop souvent la Vie en Noir.




 Le Monde derrière un écran opaque de fumée sombre.

On l'entend, on le dit, on le répète, on se vautre dedans : vivre aujourd'hui ce n'est pas la joie. Et j'ai remarqué qu'il est de bon goût de ne pas trop être optimiste. Le scepticisme c'est génial. La râlerie c'est chic. L'ironie ça claque. Être gentil, joyeux, c'est le risque de subir la malédiction du "Trop bon trop con". Alors nous essayons de ne pas nous faire d'illusions, c'est préférable.

Je navigue beaucoup sur le net. J'ai vu énormément de blogs où rares sont les articles qui ont un peu de gaieté en dedans, ou des articles d'une longueur dingue de protestations. Pas content. Ce qui m'énerve. Y'en a marre. Merde. J'ai aussi quelqu'un dans mes proches qui ressasse sans cesse du négatif et des ressentiments, un peu la version "in real life" de ces internautes.

Dernièrement, un commentaire lu sous une vidéo de Solange te Parle m'a super choquée, disant en gros que Putain tu crois que c'est le monde des Bisounours mais la vie c'est pas comme ça hein. Ou encore des réactions très négatives à des articles super positifs du site Madmoizelle, notamment lorsqu'il est question de faire des choix qui impliquent notre Bonheur. Non mais dire qu'on a le choix c'est bien facile. Le Bonheur le Bonheur... Mouais.  Mouais.

Moi même j'ai été un peu cynique, quelqu'un à la parole acerbe, qui ne se faisait pas d'illusions sur les gens, quoi attendre de la vie. J'envisageais toujours le pire et je préférais essayer de ne pas m'emballer. Je remettais tout en cause. Rien ne me paraissais légitime. Je ressassais mes malheurs. Je me roulais dans mes problèmes. Je me laissais submerger. Ça m'arrive encore par moments, évidemment ! Mais qu'est-ce que ça m'apportait tout ça ? Et aux autres, qu'est-ce que je leur apportait en faisant ça ?

La puissance des Mots.


Aujourd'hui, je ressens un profond sentiment de malaise en lisant ce genre de choses. Dans certains cas, ça me fatigue même, car je dois lutter contre la négativité des autres. Je ressens la peur, le doute, l'incompréhension, la frustration et même parfois la colère dans les réactions négatives. C'est éprouvant cette vague d'émotions diverses et peu saines. C'est blessant de voir des gens partageant de bonnes choses, sans jugement, pour aider les autres se faire rembarrer avec une telle violence. C'est violent oui. C'est douloureux de voir qu'une personne tout à fait gentille, avec tout un tas de qualités, voit tout en noir au point de s'en rendre malheureux et se dresse des barrières.

Car c'est bien là le problème. Est-ce que souligner le négatif, le partager et le promouvoir c'est faire du bien aux autres ? Non. Est-ce que cela nous fait du bien ? Certainement pas. Les mots sont de puissants vecteurs de réalité. Se répéter, s'entendre répéter et répéter aux autres que la vie c'est de la merde, effectivement ça ne risque pas de la rendre plus belle. On se convainc de ce qu'on raconte. Et on s'enfonce. On s'enfonce encore. Et on plonge dans la marée noire en emportant les autres avec nous.

"Que ta parole soit impeccable" 4 Accords Toltèques.


Après la Pluie...

Oui c'est vrai, la vie c'est pas marrant tous les jours. Tout comme la météo est changeante, la vie a ses petits aléas. Un jour il pleut, le lendemain il fera beau. Mais si on ferme ses volets un jour de pluie pour ne plus les rouvrir par la suite, comment voir autre chose que le noir ? C'est vrai que parfois, on peut faire de mauvais choix, se tromper, vivre un grand malheur ou même plusieurs. En ne regardant que le mauvais côté des choses on ne peut voir celui qui est bon, on s'absorbe trop dans ce qui ne va pas. Avoir de l'optimisme et vouloir partager des choses joyeuses ce n'est pas vivre dans un monde illusoire de Bisounours et se voiler la face.

Voir et partager ce qui est bon, c'est du boulot et ce n'est pas tout le temps simple et je n'irais pas dire le contraire puisque j'y arrive pas tous les jours. C'est bien moins facile que ressasser et ressasser encore, se laisser porter par la vague. Plus difficile que lutter contre les paroles sombres des autres qui nous engloutissent. Mais c'est tellement plus léger pour l'esprit, le quotidien, ça offre des milliers de perspectives. Le bol d'air frais après s'être immergé trop longtemps. La vie c'est de la merde, contre La vie à ça et ça de beau, regarde ce qu'il est possible d'envisager, c'est quand même des propos très différents avec un impact puissant.

C'est une question de choix oui. Un choix que nous avons tous. Oui j'ai le choix de ne pas m'apitoyer. Oui j'ai le choix de mieux penser. De mieux consommer. De partager de belles choses. De partager de l'amour des autres et de soi. J'ai choisi de partager le positif. Plus je le fais, mieux j'arrive à voir ce qui est beau et l'intérêt d'être positif autant que possible, de travailler à l'être. Et à lire vos réactions, ça vous plait, ça vous fait réfléchir et ça vous fait du bien. Voir ça, me fait aussi du bien et me donne envie de continuer. 


Qu'attendez-vous pour en faire de même ?

#AmourEtChatons

10 commentaires:

  1. C'est une belle façon de voir les choses que j'essaye d'appliquer mais j'oublie souvent quand la mauvaise humeur et la fatigue s'accumulent. Mieux consommer c'est une des choses sur lesquelles je me focalise en ce moment avec le chéri, pour le reste je pense avoir encore beaucoup de travail à faire !

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    1. Moi aussi j'ai un peu de mal des fois, surtout que je me laisse vite dépasser par mes émotions ! Mais plus j'avance avec mon blog plus ça m'aide. J'ai d'ailleurs pas mal réduit mes râleries sur Twitter et j'essaie d'avoir conscience de ce que je dis et tout ça :) Mais c'est pas facile puisque c'est de nouveaux automatismes à prendre.
      Côté consommation intelligente je bosse dessus aussi, c'est surtout l'alimentaire qui nous fait défaut avec mon amoureux ^^

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  2. olala je suis à fleur de peau, enfin surtout émotive mais la vidéo m'a mis les larmes au yeux! Et puis ce que tu dis est tellement vrai, parfois on essaye tant bien que mal de sortir la tête de l'eau de se battre pour ne pas couler sous les soucis ou le stress et puis il y a toujours des nuisibles autour. C'est tellement plus facile oui d être négatif ou méchant! C'est simplement qu ils ne savent même pas comment faire autrement, ils n essayent pas! Je vais faire plus d efforts moi aussi! Même si je ne pollue pas les autres je me pollue parfois moi même!

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    1. C'est même nous les premiers que nous polluons ! :)
      Merci de ton commentaire ♥

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  3. Je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis ! Je commence à identifier dans mon entourage des gens qui, quoi que tu leur dises, vont trouver un truc négatif à dire sur le sujet. Typiquement ma mère : tu lui dis que tu démarres une nouvelle activité, elle va te dire les risques liés. Tu lui dis que tu trouves qu'il y a quand même des risques, elle va te dire que tu devrais quand même faire cette activité, parce qu'elle a l'air super ! Parfois c'est dans la même discussion, à quelques minutes d'affilée. Peut-être que c'est quelque chose de français, de culturel, de voir les aspects négatifs avant tout, éviter d'être déçue, éviter de trop rêver. C'est d'abord déprimant, et comme tu le dis ça a aussi un impact sur le réel : du coup on s'empêche de faire certaines choses, on s'enferme dans une petite boîte qui correspond aux attentes des autres.

    Je crois qu'on ne peut pas zapper, dans la réaction des autres, les sentiments qu'ils peuvent avoir par rapport à leurs propres choix de vie. Est-ce que lorsqu'ils/elles font ces remarques négatives, ils/elles ne sont pas en train de faire ses remarques pour eux même, pour justifier le fait qu'eux même font des compromis, font d'autres choix que toi ? Ou est-ce que ce n'est pas un moyen de t'empêcher de faire ce qu'ils/elles ne peuvent ou ne veulent pas faire ? Que ce soit parce que tu ne manges plus de viande, parce que tu veux vivre dans une roulotte, parce que tu ne veux pas avoir d'enfant : dès que tu sors d'un moule dans lequel ils/elles se retrouvent. J'ai décidé récemment que j'allais prendre en compte les sentiments que ça déclenchait chez moi, et en faire part aux autres (et là on retombe sur la CNV) : pourquoi est-ce que tu tiens à me dire ce que je ne veux pas entendre ?

    Pour finir quand même sur une note positive ;) : il y a plusieurs années maintenant je participais à une colo de cirque. Il y avait des tas d'ateliers autour des arts du cirque et globalement il y avait une super ambiance, très tolérante et positive. Un jour on nous a proposé un atelier de clown où la consigne était de jouer à deux clowns, et à tour de rôle chaque clown devait proposer une action à l'autre, aussi simple que de faire une roulade par exemple ou faire le kangourou, et l'autre devait dire : AH OUAIS, SUPER !!, et faire l'action avec le premier clown. Bien sûr ça restait des actions rigolotes et simples, et il y avait toujours possibilité de refuser, mais la clef de l'exercice consistait à ne pas juger ce que l'autre proposait, mais rentrer immédiatement dans son énergie, et au lieu de tirer en sens inverse, ajouter sa propre énergie. C'est un souvenir très précieux pour moi, et je me souviens aussi que ça avait tissé un lien très fort entre les clowns de l'atelier, tant et si bien que jusqu'à la fin de la colo on a pas arrêté d'utiliser ce mode de communication pour s'encourager à faire des trucs rigolos.

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    1. Merci pour ton super commentaire !
      Je pense aborder dans un prochain article les personnes "néfastes" on va le dire comme ça. Même si j'aime pas le côté négatif de l'expression, j'ai assez fréquenté de gens qui descendent tes projets etc pour savoir que c'est pas simple et que quand ils nous sont proches souvent ça nous influence et nous fait nous enfermer comme tu le dis !
      Ton exercice de cirque est super, j'adore l'idée :) Ca permet de sortir de sa zone de confort en douceur tout en osant plus de choses, ça me donne des supers idées de conseils pour une grosse série sur la confiance que j'ai envie de faire merci d'avoir partagé ça avec moi :)

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  4. 1/2 (ou le site bug, ou visiblement on ne peut vraiment pas dépasser plus de 4096 caractères, c'est naze :()

    Ça faisait longtemps que je n'étais pas venue, enfin que je n'avais pas commenté parce que je lis tous tes articles, mais parfois je me contente de réfléchir sans partager la dite réflexion :)

    Y'a pas longtemps (enfin quelques mois quand même), il y avait eu un test (en anglais) qui traînait sur internet "es-tu un bon français ?" quelque chose comme ça. Bon je ne l'ai pas fait, parce que ne pratiquant plus la langue... Ben je comprenais rien. Enfin plus grand chose ^^' Et c'est fou mais beaucoup de questions commençaient par "est-ce que tu te plains quand... ?" (outre les questions sur le fromage...). Le plus fou était le fait que je rigolais en voyant ça et qu'intérieurement je me disais "Ouais...". Encore plus incroyable de se dire que pour les étrangers, les français sont des gros râleurs bouffeurs de fromages et d'escargots. J'ai ri, et puis c'est tout. Alors est-ce que le Français est un râleur ? Est-ce que malgré toutes nos bonnes mesures, la meilleure couverture santé au monde, et sans militaires ou bombes à tous les coins de rue, on en demande trop ? Peut-être. Peut-être qu'avec notre Nation très tournée sur son Histoire et son passé, on avance (ou on stagne, chacun son point de vue) dans le leitmotiv du "c'était mieux avant", même les t-shirts le disent... Bref, je me suis pas renseignée sur la question, je ne suis pas sûre que quelqu'un s'y soit penché et ait écrit quelques lignes genre "Ces râleurs de Français", à voir si y'a matière à développer pour une thèse hein qui sait...

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    1. J'ai cru justement voir passer des articles par ci par là sur le français râleur justement !
      Ta réflexion sur le fait que la France soit archi tournée sur son histoire est très juste et moi qui croit que vivre l'instant présent est le mieux, et que ressasser le passé est la meilleure des entraves, je crois que tu as mis le doigt sur un des gros problèmes du français ^^

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  5. 2/2

    Et puis est arrivé mon anniversaire. Alors comme ça, on pense aux cadeaux, gâteau, joie, amis, amour et paillettes. Et bien non. Le soir de mon anniversaire, j'ai été prise de crises d'angoisse. Ça a duré, j'ai du aller chez le médecin, et parfois, même si maintenant je le contrôle, je sens mon cœur qui s'emballe. Moi j'angoissais, moi qui suis très terre-à-terre, pour qui tout problème a une solution, zen, "cool Raoul" comme on dit, j'angoissais. Ça n'avait aucun sens, surtout que je n'avais aucune raison "valable" (enfin c'est ce que je me disais, m'enfin l'angoisse et la peur ça peut souvent être irrationnel au final). Alors il a fallu se poser les bonnes questions, revoir toute ma méthode de pensée depuis que j'étais née et me dire "est-ce que tu ne t'étais pas trompée tout ce temps ?". C'est pas chose facile que de remettre tout en cause, et surtout de SE remettre en cause. De se dire que à un moment ou à un autre on a merdé quelque part. Pourtant je me remets souvent en question vis à vis de mes études, de mes valeurs, de mes amis. Mais là c'était TOUT et tout EN MEME TEMPS. Faut se détendre et boire frais comme on dit.
    Alors je sais, vis à vis de celles et ceux qui pratiquent déjà ce mode de vie, ça paraît naze ce que je vais dire : une amie m'a offert "La positive attitude" de la collection des Paresseuses. C'est peut-être pas pro pour certains, ça veut peut être rien dire pour d'autres, c'est peut être même à brûler, mais ça m'a aidé. C'était un bon commencement, le début de chemin pour un monde meilleur avec des dragons, des fées et Gandalf pour m'aider (non non chez moi, ce ne sont pas les Bisounours). C'est le début de la belle aventure de la positive attitude. Et ce sont des choses toutes bêtes. En fait, c'est un peu comme redevenir môme, mais avec un peu plus de lucidité. Mais c'est le mécanisme de l'émerveillement : arrêter de se plaindre quand il pleut, penser au moment où on va rentrer chez soi, mettre des grosses chaussettes et boire un thé c'est mieux, et ça on le fait rarement quand il fait 30 degrés ; arrêter de se plaindre quand il fait chaud : s'allonger sur l'herbe/transat dans son jardin, porter des choses légères et pleines de couleurs (faut pas se mentir, l'hiver je mets rarement du rose fluo), bronzer, on le fait pas quand il fait -1.
    Et alors là, j'ai compris. J'ai compris que se reposer, faire des bonnes nuits c'était important, que l'alcool n'était pas source de rigolades, que prendre soi de soin avant de prendre soin des autres c'était mieux, que n'avoir rien de prévu dans sa journée (parce que pour certains, ne pas avoir de plannings c'est source de stress) ça appelle à l'imprévu justement ! Que voir la vie du bon côté, de toujours tirer le meilleur parti des choses et des événements, ça fait du bien. Et le bonus dans tout ça c'est que quand on se fait du bien, ça rayonne sur les autres et que peut-être que les autres, sans le savoir, n'étaient pas si bien que ça. Je pense que c'est ça le plus difficile, et parfois il faut un déclic, c'est qu'on n'est pas obligé de se rendre compte. Enfermé dans sa vie, son confort, son cercle familial, ses amis, ses études, tout ça, on se noie. On se perd nous mêmes à vouloir trop bien faire les choses qui nous entourent. Alors c'est peut être égoïste comme façon de penser, mais je me suis dit que penser à soi c'était plus important que de penser aux autres. On peut rarement faire du bien aux autres quand on ne va pas bien.
    Ma moralité : avant d'être généreux avec le monde entier, juste avec soi pour commencer c'est déjà pas mal :) (après libre à ceux qui veulent aider tout le monde, moi j'ai arrêté les frais, emmagasiner les problèmes des autres c'est s'en créer un peu quand même... ^^')

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    1. J'ai vécu la remise en question aussi, mais j'ai fait les choses par étape parce que j'avais du mal à y voir claire malgré le fait que j'étais super bien entourée :)
      Et il m'a fallu un déclic (comme quand je suis devenue végétarienne), car tout ce dont j'entendais parler depuis des mois avec mes parents (vivre le moment présent, améliorer sa façon de communiquer avec les autres, être plus zen etc) j'avais envie d'y croire & de le vivre mais ça ne rentrait pas ! Et puis pendant une semaine de vacances catastrophique, plein de questions en tête, j'ai lu un livre qui ne paie pas de mine et là j'ai compris un tas de choses & depuis j'ai continué de m'intéresser et j'ai commencé à travailler sur moi même. Moi je trouve que ton petit bouquin même si c'est pas du bouquin de développement personnel de compet' écrit par les grands penseurs et tout, vu l'effet que ça te fait et la prise de conscience qu'il t'a donné bah c'est déjà bien, si ça te donne envie de creuser derrière c'est qu'il est pas si mauvais ^^
      Pour le reste, moi j'écris ce blog parce que ça me plait & surtout parce que je pense un peu comme toi : il faut s'aider soi-même avant d'aider les autres. Alors je m'aide, tous les jours, je suis pas parfaite et je ne parle ici que de ce que je connais & ce sur quoi j'arrive à travailler. Et je suis persuadée que le fait de travailler sur moi même fait que ça va influencer sur mes relations & mon influence sur les autres : en me sentant mieux & en agissant mieux, je ne peux qu'émettre des ondes qui aideront les gens :) Et pareil, le fait de partager sans imposer & montrer que oui oui, ça marche sur moi, ça peut très bien influencer les autres et les amener à se poser des questions & réagir ! Car le souci c'est qu'on aura beau essayer d'aider d'autres gens, si ils ne sont pas prêts à être aider, bein ça n'y changera rien. Alors que parfois, voir que ce que font les autres marche & les rend heureux ça peut faire ouvrir les yeux plus qu'une bonne discussion de 2h sur le problème que rencontre la personne :)
      Comme toi, je pense qu'en agissant pour nous même & que ça fonctionne, on fait déjà plus qu'en perdant de l'énergie à essayer d'agir pour les autres sans succès & sans que ça avance qui que ce soit à quelque chose (CQFD !)

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